On est encore et toujours
Pris dans l’entonnoir des amis pour la vie
Les franges de l’espoir sont parties dans la nuit
Les derniers trouillards, les premiers déguerpis
Cuit dans le brouillard, hey, la tyrannie du déni
Des fois les gens se reprennent
Arrivent à reprendre les rennes
C’est chaud c’est chaud
C’est plus facile d’oublier
De faire du cliché
On est encore et toujours
Pris dans l’entonnoir de la folie des avis
Perdus dans le noir du mépris sans sursis
Accessoire pour conjurer l’ennui
Peur de pas pouvoir, hey, la tyrannie du déni
À bat la mission
Je préfère ma pulsion
La dernière fois c’était pour un beau dicton
Plus de compromission
Fais bien attention
Je vais péter un câble
Et puis c’est reparti
Je sais bien que c’est un cycle
Mais je préfère dire que je suis comme cela
C’est tout un vice, c’est les prémisses
D’une chute destructrice
Quelque part ça me rend triste
Mais c’est bien mieux que l’ennui
Tout m’agace quand je m’ennuie
Tous trépassent quand je m’enfuis
Pousse et casse tout ce que je détruis
C’est bien mieux que l’ennui
Je fais comme ça depuis si longtemps
Je ne sais pas faire autrement
Essayer autre chose me fait trop peur
Tout sauf avoir l’air faible
Oh
Des fois les gens se reprennent
Arrivent à reprendre les rennes
C’est chaud c’est chaud
C’est plus facile d’oublier
De faire du cliché
Oï
Et toujours
Pris dans l’entonnoir des amis pour la vie
Les franges de l’espoir sont parties dans la nuit
Les trouillards, les premiers déguerpis
Cuit dans le brouillard, hey, la tyrannie du déni
Pris dans l’entonnoir, de la folie des avis
Perdus dans le noir du mépris sans sursis
Accessoire, pour conjurer l’ennui
Peur de pas pouvoir, hey, la tyrannie te poursuit
Oï